mardi 4 août 2009

Londres par ses Banques nous volent

Vous êtes sur un lieu d'échange et de

libre expression

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LONDRES S'ARRANGE POUR QUE TOUS LES ÉTATS N'AIENT PAS LE CONTRÔLE DE LEURS MONNAIES.
Et même si il existait un seul État (ce qui n'est pas le cas) qui était réellement maître de sa monnaie: ce serait toujours de la monnaie-dette, donc cet État endetterait ses citoyens inversement et proportionnellement avec la Croissance Économique.

La richesse d'abord ce sont des humains heureux et en santé. En second lieu, la richesse c'est ce que produisent les humains et jamais ô grand jamais l'argent (la monnaie de chiffons). Londres voudrait nous faire croire que le dollar vaut quelque chose, mais sachez que 1000 milliards $ ne valent rien dans le désert, par contre même sans argent dans une région où terres fertiles, lacs et forêts abondent.... là, on peut tout faire, on peut se bâtir des maisons, se nourrir, faire nos vêtements,..... on peut tout et même sans argent.
AUTREFOIS, NOS ANCÊTRES N'AVAIENT PAS D'ARGENT, L'ARGENT NE CIRCULAIT PAS EN CAMPAGNES: ET POURTANT LES FERMIERS S'ARRANGEAIENT BIEN, ILS PRODUISAIENT TOUT CE QUI ÉTAIT NÉCESSAIRE À LEURS SUBSISTANCES.


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La Fed une banque de gansters!

L’empire britannique s’est associé, depuis plus d’un siècle, avec les USA pour exercer une domination mondiale avec des outils de décision centralisés, non élus et non démocratiques sur le modèle de “La Table Ronde”. Lorsque George Herbert Walker Bush parla en 1990 du “Nouvel Ordre Mondial”, c’était une façon plus « sexy » de parler de la domination de l’empire anglo-américain sur la planète entière. En France, ce “Vieil Ordre Mondial” profite seulement à quelques multinationales, Sanofi, Total, Aréva, Danone, L’Oréal, etc. et n’a absolument rien de démocratique.

La chronologie de la mise en place de cette dictature anglo-américaine, dont nos médias parlent si peu :

1913 : Création de la Fed (Federal Reserve) : Washington
1920 : RIIA (Royal Institute for International Affairs, aujourd’hui appelé “Chatham House”) : Londres
1921 : CFR (Council on Foreign Relation) : New York
1945 : ONU (Organisation des Nations Unies) : New York
1945 : BM (Banque Mondiale) : Washington
1945 : FMI (Fond Monétaire International) : Washington
1945 : FAO (Food and Alimentation Organisation) : Rome
1947 : OMC (Organisation Mondiale du Commerce, auparavant Gatt) : Genève
1948 : OMS (Organisation Mondiale de la Santé) : Genève
1954 : Groupe Bilderberg
1957 : AIEA (Agence Internationale de l’Énergie Atomique) : Vienne
1963 : Codex Alimentarius : Rome
1973 : Trilatérale
1973 : Premier choc pétrolier, organisé par les sept majors du pétrole, afin créer une situation de crise permanente et de mettre fin à la remise en question du système, initiée en 1968



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Racisme et Histoire: Le Tabou

La société Francaise souffre d'amnésie. Elle se refuse à recon

naitre les périodes peu glorieuses de son histoire durant lesquelles l'esclavagisme et le colonialisme ont été justifiés par un racisme institutionnel. Ces périodes sont révolues, mais mal assumées, formant ainsi un bon terreau pour permettre au racisme institué à l'époque de survivre sous d'autres formes.

Je suis de plus en plus inquiet face aux non-dits de notre société occidentale. Admettre et reconnaitre notre histoire dans ses composantes les moins glorieuses serait enfin admettre qu'être Français, ce n'est plus seulement être un descendant des gaulois. Nous pourrions rendre leur dignité a celles et ceux qui se sentent exclus.


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L'échec de Bretton Woods et la « relique barbare »

[ 18/11/08 ] 2 commentaire(s)

Tout le monde parle de Bretton Woods (conférence tenue en juillet 1944 pour jeter les bases du système monétaire de l'après-guerre) comme d'un talisman ; mais sans jamais mentionner l'or. Comme si c'était un détail relevant d'un passé à jamais révolu. Réformes sérieuses ou pas proposées par le G20, le risque est grand de voir se refermer sur l'économie mondiale l'étau du système monétaire actuel ou d'une version bis qui serait... trois fois pire : deux monnaies de réserve (dollar + euro), au lieu d'une seule ! Au moyen d'une image magnifiquement adaptée à son but, John Maynard Keynes a excommunié et enterré les partisans de l'ancienne orthodoxie restés attachés à la logique de l'étalon-or : un système où l'on voit, disait-il, « l'homme creuser la terre pour y extraire l'or qu'il va aussitôt enfouir dans les caves des instituts d'émission ». L'évocation, par le même auteur, de la « relique barbare » a fait le reste. Le relent de magie que cette expression évoque a achevé de discréditer les partisans d'un étalon métallique.

Pourtant, le problème posé par l'existence ou non d'un étalon monétaire est plus que jamais d'actualité. Il l'est en ce sens que l'économie réelle pâtit d'une instabilité absurde des taux de change, sans lien aucun avec les « fondamentaux » économiques. Pourtant, dans toute l'histoire du capitalisme, il n'y a eu de changes flottants que dans les périodes de guerre acharnée et prolongée (dix-sept années de lutte anglaise contre Napoléon, les deux guerres mondiales du XXe siècle). On a voulu aussi oublier qu'avec le régime de l'étalon métallique, la stabilité des taux de change est assurée naturellement par le seul jeu du marché de l'or. Au moins, ce marché et les mines d'or qui le nourrissent servent alors à quelque chose ! Or, si le régime de Bretton Woods, qui avait remis en selle l'étalon-or, a échoué, c'est pour avoir été incapable d'assurer le bon fonctionnement de ce marché. Là est l'origine de tous les dévoiements qui ont suivi jusqu'à aujourd'hui. Pourquoi cet échec ? Parce que la balance des paiements des Etats-Unis présentait l'anomalie d'être constamment en déficit.

N'est pas en déficit qui veut. Pour l'être, il faut des prêteurs et, chose encore moins accordée à tout le monde, des prêteurs disposés à prêter sans limite ni de montant ni de durée. Pour accomplir la prouesse, une condition nécessaire pour le grand Emprunteur est d'avoir le grand et le plus profond marché du monde pour les titres de sa dette publique. Cette dette nationale, pourvue ainsi de tous les signes extérieurs de la « liquidité », a presque irrésistiblement vocation à devenir la monnaie internationale de « réserve », c'est-à-dire de règlement, des banques centrales. Bretton Woods avait laissé se développer la monétisation de la dette américaine. L'étalon-or réinstallé en a été submergé. Depuis trente-sept ans, la masse des « balances dollars » entre les mains des banques centrales a été multipliée par 260. D'où l'exubérance et l'omniprésence de la sphère financière.

L'élimination de l'étalon-or est, pour les besoins de la cause, confondue avec la dématérialisation continue et hautement souhaitable des signes monétaires. On en oublie que, dans son essence, la monnaie est une chose concrète par excellence. Les revenus sont distribués sous forme monétaire. La monnaie, fut-elle réduite à une seule inscription électronique, existe parce qu'elle confère un pouvoir d'achat inconditionnel. Celui-ci se mesure par la quantité de marchandises qu'elle permet à son détenteur d'acquérir. Il est impossible d'en représenter la valeur autrement que par une marchandise : l'or par exemple. L'or mis hors-jeu, le problème de la référence au concret n'en appelle pas moins une solution. Chaque nation ou groupe de nations guide désormais sa politique monétaire en fonction de l'évolution de l'indice des prix. Une construction statistique qui, par définition, est propre à chacune d'elle. Reste à savoir si cette solution est plus ou moins arbitraire que la précédente. Elle consacre la fragmentation des zones monétaires. De ce point de vue, elle est antinomique avec une économie mondialisée.

gifs animés: Histoire de l'argent

Si les gens de cette nation comprenaient notre système bancaire et monétaire, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin. Henry Ford (1863-1947)

Expliquez-nous comment des États qui ont le pouvoir de créer leurs monnaies peuvent être aussi endettés ? Un État ça ne s’endette pas, car il a le moyen de créer tout l’argent nécessaire à la production et à sa consommation ! Si un État riche et en pleine Croissance Économique affiche plus de 60 % de pauvres parmi ses citoyens : c’est qu’il y a du vol ou mauvaise gérance, et la cause c'est la création d'un argent-dette.


Voici le fameux article que le TIMES (journal appartenant à la Haute finance) de Londres a écrit après l’assassinat de Lincoln qui venait de faire une Loi pour reprendre le contrôle de la monnaie sur les orfèvres, banquiers privés, et qui ont dit après son assassinat : «Si la funeste politique financière inaugurée récemment en Amérique du Nord doit se perpétuer, ce gouvernement doit être détruit ou il détruira toutes les puissances bancaires». Voilà pourquoi la Banque d’Angleterre, fondée par les marchands les plus riches de Londres, adopta le principe mafieux des orfèvres (des Banques privées).

Lincoln avait dit « Lorsque les Gouvernements émettront de la nouvelle monnaie gratuitement (et en fonction d’assurer à tous un bon pouvoir d’achat suffisant) : il n’y aura plus de limite au Progrès, aux avantages de vivre en collectivité et, au véritable progrès humain, les Gouvernements possèderont dès lors leurs propres monnaies sans l’emprunter. ils en pourront payer leurs dettes, se libérer de toutes leurs créances. Ils possèderont toute la monnaie nécessaire à leurs commerces, ils connaîtront une ère de prospérité sans précédent dans l’histoire de la civilisation… ».

Au milieu du X1Xe siècle, presque toutes les Banques du Monde deviennent les Banques à relais de la Banque d’Angleterre. (Au fait, c’est plutôt à cette date qu’on l’a découvert que Londres gouvernait par les grandes Banques, mais ça faisait bien longtemps que c’était ainsi !)

L’argent doit tendre à la commune utilité et exclure toute exploitation d’une partie sur l’autre : sinon, c’est du vol !

L’Argent ne doit être rien d’autre qu’un reçu ; qu’une attestation ; qu’une preuve transportable transférable d’une consommation et d’une richesse/produit…. ET JAMAIS POUR FAIRE DU PROFIT. Et pour celui qui aura travaillé`il aura plus de ces reçus.

L’OR n’est pas la monnaie internationale, ni le Dollar mais le BOIS, les TERRES, nos LACS, ses Aliments Naturels (bleuets, framboises…) …. : voilà cette fameuse ‘’Monnaie naturelle’’ et qui est le BIEN DE TOUS. Alors, ne nous faisons pas leurrer avec l’OR par les Anglais qui tentent de faire croire à l’Humanité que seul leur OR vaut en ce monde : et ceci pour nous faire oublier que les Ressources Naturelles --- Biens de l’Humanité --- sont les seules réalités, valeurs naturelles et dons de la Nature.

L’ARGENT EST LE BIEN DE TOUS

Établir une hiérarchie et une distribution monétaire à partir des comportements méritoires : c’est oublier injustement les droits de tous à une vie décente et de qualité, et que tous sont héritiers de leur Pays et sur la moitié de ce qui s'y produit!

Installé à Manchester, puis à Londres, Nathan Mayer Rothschild (1777-1836), fut le fondateur de la banque londonienne. La banque deviendra au cours du XIXe siècle une des principales banques de l'empire britannique.

« Lorsque les Gouvernements émettront de la nouvelle monnaie gratuitement (et en fonction d’assurer à tous un pouvoir d’achat suffisant) : il n’y aura plus de limite au Progrès, aux avantages de vivre en collectivité et, au véritable progrès humain », disait LINCOLN